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Les salles obscures vous ennuient: vous spportez pas la foule, le bruit du pop corn, ou la voix de la pré ado qui marmonne à sa copine " comme il est beau Brad"

Les salles obscures vous fuient: vous habitez un trou perdu avec une salle à 50km ou il diffuse encore "Minority report"

Vous aimez votre canapé, la biere, la tequila, les chips, les pizza, votre lecteur DVD ou HD, et votre écran plat...

Ce topic est là pour vous..critiques de films en tout genre, vu en DVD, blue ray, support en tout genres

La Belle au bois dormant

Bon vu mercredi soir ça faisait un moment que je l'avais acheté et j'avais un peu peur car c'était un vieux Disney et je me demandais comment on pouvait tenir 1h15 avec le baiser, le dragon, les 3 fées et qu'elle se pique !!
Et finalement j'ai pas été déçu ok c'est un D.A de femelle et c'est à cause de ce genre de D.A que les femmes idéalisent l'amour mais franchement l'histoire est très chouette, les couleurs ... ont été bien réactualisées et on s'ennuie pas un instant bref il mérite son sous titre de "chef d'oeuvre" !!

Prochain à regarder : la fée clochette

edit : et j'aime la bière !!

Cédant à la pression populaire et profitant de la sortie vidéo, j'ai enfin vu



Bella va vivre avec son père, elle va au lycée et coup de foudre pour un mec un peu bizarre..le vampire du coin...Alors y'a des gentils vampires, des méchants vampires, des étudiants un peu con, un père maladroit mais qui aime sa fille....



Bref, sans doute le film d'une génération qui n'est pas la mienne. Rien à dire sur la réalisation, le film est trés jolie, y a des plans de paysage avec une super lumière..La jeune actrice est plutôt bien dans le rendu de ses émotions, ce qui n'est pour moi pas le cas de son ami suceur de sang, et une bande son plutot sympa...Bon pour le reste c'est plat, mièvre, sans scénario...Les 30 dernieres minutes sont corrects mais bon y a des épisodes de buffy qui le sont tout autant.

mais on a quand même envie de connaître la suite

Madame a lu la suite et elle a adoré !!!
Et la bande son tu as raison est superbe (Paramore Décode )
Comme tu le dis c'est le film d'une génération mais je me retrouve à fond dans ce film que j'ai donc adoré (même si Bella est géniale comparée a Edward qui est un peu monoexpressif le Tom Cruise des vampires)

Bah pour le coup pas d'accord du tout avec Guis.

La réalisation ne m'a pas plu du tout et elle a carrément déservie l'histoire dans ce cas là. Les deux interprètes sont mauvais très mauvais même (de toute façon que pouvait-on attendre de robert pattindon qui a la présence d'une huitre pour incarner le superbe edward?)
Je rejoins Gilou sur la bande son mais bizarrement, j'n'ai pas trouvé qu'elle collait toujours avec l'ambiance du film. Il y a quand même une scène fabuleuse mais bizarrement les deux protagonistes n'y ont pas grande place, c'est celle de la partie de base ball qui est vraiment bien retranscrite par rapport au bouquin.

Après voilà, d'abord la quadrilogie Twilight c'est un phénomène de société qui touche les pré-ado (jeunes filles en fleur ultra romantiques qui rêvent de grand amour impossible à la roméo et juliette)et en aucun cas, le film ne rend justice à l'histoire pour la simple raison que d'après moi ce qu'on peut facilement gober par écrit style le dialogue loup et agneau ne l'est carrément pas joué sur pellicule.

On a droit qu'aux clichés, aux banalités alors que l'histoire est excellente ! Je suis une grande grande fan de twilight(je suis encore une préado fleur bleue sans doute) c'est une des rares histoires qui m'a fait lire jusqu'à faire des nuits blanches. Non je regrette que l'adaptation fasse cul cul la praline moi-même en sortant de la salle ciné j'étais déçue.
J'ai vraiment un grand doute quand à la suite surtout que mes personnages favoris les loups garou vont débarquer

Je précise que j'étais vierge de toute comparaison avec les livres que je ne connais pas, c'est pour çà que çà m'a paru bien plat plat comme histoire

Un petit mot sur le biopic en deux parties consacré à Jacques Mesrine de sa participation à la guerre d'Algérie à son exécution en Novembre 1979

Deux films trés différents: L'instinct de mort:le premier trés noir, la jeunesse de Mesrine, personnage raciste, macho, ultra violent...Ambiance super étouffante, malsaine..donc réussi

L'ennemi public N°1: un Mesrine qui se cherche, qui lorgne vers la révolution, se rapproche des palestiniens, puis de l'extreme gauche, semble vouloir s'attaquer au système..Ce mesrine plus rassurant, plus drole, attire la sympathie jusqu'à une des dernieres scenes du film avec le journaliste Dallier ou son naturel revient a galop...

Pour moi, c'est une grande réussite pour cette raison: de scene en scene, on le deteste, on veut le voir disparaitre, et pourtant parfois, il attire la sympathie...Au final, on le plaint lors de son exécution..Et je pense que c'est exactement ce que ressentait l'opinion public à ce moment là: une certaine admiration pour un personnage au final odieux

Vincent Cassel passe à merveille de l'une à l'autre des deux facettes du personnage...Les seconds rôle féminins, les femmes de sa vie (Cecile de France ( humm serait ce un indice pour un topic, Ludivine Sagnier...), et ses collegues de gang ( samuel le bihan, gilles lellouche, mathieu amalric) jouent juste leur admiration sans bornes et leur crainte de Mesrine. Depardieu est énorme pendant le numéro, nottament dans la scene la plus dérangeante du biopic, celle de la mise à mort du maquereau...

Pour conclure, il me semble qu'il fait voir ces deux films

Elle est bien ta critique. J'ai adoré les 2.

J'ai vu aucun des deux, un de ses 4, ça sera au programme soirée dvd

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Les fraises sauvages (Ingmar Bergman, 1957, 1h31)

Avec: Victor Sjöström (Isaak Borg), Bibi Andersson (Sara), Ingrid Thulin (Marianne), Gunnar Björnstrand (Evald).

Isaak Borg, 78 ans est docteur. Couvert d'honneur et de gloire, c'est un vieillard égoïste et mesquin. Il se rappelle cette journée du ler juin qui m'a mis en face de lui-même. Il y a d'abord un cauchemar, un cauchemar du corbillard... Ce ler juin il devait me rendre à Lünd où l'on allait fêter son jubilé. Il devait prendre l'avion mais finalement, il décide de faire le voyage en automobile. Marianne, sa belle-fille, qui a quitté son mari, a tenu à l'accompagner...

C'est un film sur le souvenir et la remise en question de soi, après avoir cauchemardé suite aux différentes critiques émises à son égard.

+ Belles images, bon montage, original.

- C'est Bergman, donc même 1h31 c'est long.

Nicolas R. a écrit:- C'est Bergman, donc même 1h31 c'est long.

Je ne retiendrai que ça je pense...

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Le troisième homme (Carol Reed, 1949)

1h44. Avec: Joseph Cotten, Alida Valli, Orson Welles.

La Vienne de l'immédiat après-guerre. Holly Martins, un minable écrivain américain est venu y retrouver son vieil ami Harry Lime. Mais ce dernier a été tué dans un bizarre accident de voiture alors que la police semblait beaucoup s'intéresser à lui...[b]

Bien filmé, bon scénario, bonne fin. Aucune longueur.

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Le septième sceau (Ingmar Bergman, 1956, 1h36)

Avec: Max Von Sydow (Le chevalier Antonius Block), Gunnar Bjornstrand (Jons, son ecuyer), Bengt Ekerot (la Mort).

Le chevalier Antonius Blok revient des Croisades avec son écuyer Jons. Soudain la silhouette noire de la mort apparaît sur le bord de la mer pour appeler sa victime ; le Chevalier de la raison la défie aux échecs pour pouvoir ainsi gagner du temps et découvrir le sens de la vie.

Original, excellent. Depuis, j'ai peur de la mort.

L'Hôpital et ses fantômes (Série TV, 8 épisodes d'un peu plus d'1 heure chacun, Lars von Trier, 1994 et 1997, avec Ernst-Hugo Järegard)

L'hopital "The Kingdom" est construit sur d'anciens marécages, lieux de toutes les légendes. Des forces occultes se sont réveillées et les portes du "Royaume" se sont ouvertes sur un monde mystérieux...

Génial! Le scénario est très riche, l'évolution de chacun des personnages passionnante. C'est original, drôle, parfois flippant. Le seul bémol est le goût d'inachevé à la fin.

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Lolita (Stanley Kubrick, 1962, 2h32)

Avec: James Mason, Shelley Winters, Peter Sellers, Sue Lyon.

Humbert Humbert, lecteur en littérature française, loue une chambre dans la maison de Charlotte Haze, matrone éprise de culture. C'est l'été dans la petite ville de Ramslade. Charlotte, veuve depuis sept ans, est tout de suite très attirée par Humbert, divorcé et homme séduisant. Elle lui fait une cour très pressante tandis que Humbert se montre beaucoup plus attiré par les charmes encore très juvéniles de sa fille, Lolita.

Excellent. Sur la forme, c'est carré, les plans sont propres, c'est Kubrick.

Dans ce genre de film, on vit dans la peau d'un personnage. En ce qui me concerne, c'est James Mason. Je trouve Lolita irritante et Peter Sellers haïssable. C'est donc une réussite. C'est très bien d'être dans la suggestion des rapports entre Lolita et son "beau-père" et de ne rien montrer. C'est fin.

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Ouragan sur le Caine (Edward Dmytryk, 1954, 2h00)

Avec: Humphrey Bogart, José Ferrer, Van Johnson, Fred MacMurray, Robert Francis, Lee Marvin.

Pendant la deuxième guerre mondiale, en plein océan entre San Francisco et Pearl Harbor, le capitaine Queeg a un comportement inquiétant, sur lequel l'officier radio Keefer attire discrètement l'attention des officiers et en particulier celle du lieutenant de vaisseau Maryx, commandant en second du Caine. Lors d'un typhon, Queeg perd tout contrôle de lui-même et met le bateau et son équipage en danger. Le lieutenant de vaisseau Maryk, officier discipliné, après avoir réfléchi aux mises en garde de Keefer, le destitue et prend le commandement du navire. Il se retrouve traduit devant un conseil de guerre bien qu'il ait sauvé l'équipage.

Très bien réalisé, très bien interprété. L'analyse des comportements est fantastique.

tiens, nicolas, j'aimerais bien avoir l'avis d'un cinéphile comme toi sur Un tramway nommé désir, d'Elia Kazan, si tu l'as vu (mais j'imagine que oui!)

Ca fait 6 mois qu'il est sur mon étagère. Si tu veux, je te le prête.

non en fait je l'ai mais j'ai adoré et je voulais savoir si on avait le meme avis là dessus

L'ultime razzia (Stanley Kubrick, 1956, 1h23)

Avec: Sterling Hayden (Johny Clay), Coleen Gray (Fay), Jay C. Flippen (Marvin Unger), Elisha Cook Jr (George Peatty), Mary Windsor (Sherry Peatty).

Après avoir purgé une peine de prison pour vol à main armée, Johnny Clay retrouve son amie Fay. Mais Johnny veut tenter un dernier coup "avant de se retirer des affaires" : dérober la recette du pari-mutuel au champ de courses...

Aucune longueur, bon scénario, bien filmé, montage original, fin géniale.



Le baiser du tueur (Stanley Kubrick, 1955, 1h07)

Davy Gordon est un boxeur en fin de parcours. Un soir, après un combat perdu, il vole au secours de sa voisine d’en face, hôtesse dans un dancing... Leur romance pourrait commencer mais le destin est cruel avec les amoureux : le manager de Davy est battu à mort et Gloria est enlevée par son patron.

Correct.

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Les sentiers de la gloire (Stanley Kubrick, 1957, un peu plus d'1h20)

Avec: Kirk Douglas, Ralph Meeker, Adolphe Menjou, George MacReady, Wayne Morris.

1916. Ayant besoin d'une éclatante victoire pour consolider sa renommée personnelle, le général Broulard ordonne au général Mireau de prendre une position allemande surnommée "La fourmilière" et qui est réputée imprenable. L'heure H arrive mais dès le début de l'attaque, les soldats tombent par dizaines et leurs compagnons refusent alors d'avancer. Mireau ordonne aux canonniers de tirer sur les positions françaises afin d'obliger les soldats à se lancer à l'attaque. Mireau décide alors pour faire un exemple de condamner à mort trois hommes.

Génial. En résumé, c'est critique à l'égard des officiers qui mangent peinards pendant que les soldats se font descendre. Le film est pessimiste. Il semble très réaliste même si je n'y étais pas.

Un chien andalou (Luis Buñuel, 1929, 15 minutes)

Avec: Simone Mareuil (la jeune fille), Pierre Batcheff (l'homme), Luis Buñuel (l'homme au rasoir du prologue), Salvador Dalí (un séminariste)...

Sur un balcon, un homme aiguise un rasoir, regarde le ciel au moment où un léger nuage avance vers la pleine lune. Une tête de jeune fille, les yeux grands ouverts. Le nuage passe sur la lune, la lame du rasoir traverse l'œil de la jeune fille...

Surréaliste. A voir impérativement.

J'ai tenu 20 minutes. Définitivement j'accroche pas à l'univers de Baz Luhrmann. Même Hugh n'aura pas réussi à me retenir...

Sur le coup, j'avais bien aimé le côté épopée, fresque... Et aussi les paysages... Mais bon, le lendemain, pareil que toi, il n'y avait plus rien... Je ne supporte pas Kidman